Je rumine l'espoir comme une rose de Jéricho condamnée dans une solitude de sécheresse.
J'ai beau chercher les yeux bleus du ciel La joie dans le cristal du rire d’une flûte de pan Le son est vide.
Le vent n'est plus là
La mélodie devient un écho silencieux
Tout est mort assassiné dans l'absence du temps
La saison là Rien ne javelle Pas même les alpistes des Canaries
Le polyoside est noir de cellulose
Plus de brindilles pour fortifier l'avenir
Rossiny Dorvil
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