Un chagrin écorche mon silence
Comme le feu de détresse d'un naufrage insignifiant
Ma terre mère fume ma raison
Je devine le mal à travers les yeux des enfants
Chaque nuit l'orage s'éclate, les lézards naissent
Orgueilleux le destin fuit notre cœur
Notre seule survie peine à recevoir le pardon
Quête sans fin, bénédiction introuvable
Vie indéfinissable
Je colonise le vide pour faire naître la raison
Finalement, mes esprits se transforment et dispersent le malheur
Ma terre mère, terre d'accueil, terre déshumanisée
Humain en quête d'une suite injustifiée
Je résume la vie aux déboires quotidiens
et seul j'exige à la vie des jours meilleurs
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